S'appuyer sur le toucher

. . . Qu'il surgisse à vingt-cinq ou cinquante ans, on l'appelle accident de la vie. La personne est confrontée à un conflit, une incompréhension, un deuil, une injustice.

La situation la rend vulnérable aux événements. L'équilibre personnel et/ou professionnel s'en trouve fragilisé. Le doute s'installe.

Rancœur, culpabilité, regret : une pensée lancinante altère une solidité intérieure, avec des conséquences possibles sur l'humeur, le sommeil, la relation à autrui.

À ce moment, la personne a peut-être besoin de s'appuyer sur sa maison corps.

Notre corps est notre maison. Nous pouvons changer de voiture, changer de domicile. Nous habitons notre corps pour toute notre vie.

La cure que propose le Centre de bien-être Le Corps S'éveille s'adresse aux personnes qui, face aux aléas de l'existence, ont l'intuition que le chemin vers un retour progressif à une paix intérieure passe par une attention prêtée à leur corps.

La méthode ne se substitue pas à une psychothérapie. Elle peut compléter un travail psychologique en cours.

La séance s'ouvre par quelques mots. Elle se poursuit sur une table de massage, un futon, un siège ergonomique.

• Les massages associés à des gestes de relaxation nourrissent le corps. Ils l'aident à se relâcher et à se régénérer.

La séance se conclut par quelques mots, si la personne souhaite partager ses ressentis.

• Apprendre à ralentir et à respirer
• Tempérer stress et anxiété
• Réconcilier l'esprit et le corps
• Installer une paix intérieure

Un massage associé à des gestes de relaxations apporte une réponse ajustée à un tumulte intérieur.

Avec une gamme de ressources bien-être, chacun·e est invité·e à retrouver dignité et estime de soi, et à redevenir son propre - et peut-être son meilleur - ami.

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. . .Les médecins ont longtemps cru que la dépression atteint les femmes plus souvent que les hommes. L'idée répandue était que les femmes avaient une constitution biologique qui les rendait plus vulnérables aux rigueurs de l'existence.

Les symptômes connus d'une dépression - tristesse, pleurs, anxiété, perte d'énergie, troubles du sommeil - sont attribués au genre féminin. Or, des symptômes tels que la colère, l'alcoolisme, les comportements à risques, l'hyperactivité, relèvent aussi d'un état dépressif. Les hommes dépressifs ont tendance à surjouer les normes de virilité.

Les médecins diagnostiquent une dépression chez une patiente victime de faiblesse émotionnelle, plutôt que chez le patient qui extérorise une violence.

Si l'on réunit l'ensemble des symptômes qui touchent les êtres en souffrance, alors le pourcentage d'hommes qui présentent des troubles dépressifs est équivalent à celui des femmes : environ 30 %.

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